| nom : Belaskel. prénom : Luca. surnom : On le surnomme, on ne le nomme pas. Ô Pharaon Noir, Mal Aimé, Oracle des Oraisons, Petit Homme, Vitalis, Prince de Sade et des sans-âmes pardonne-nous de ne point nous soumettre à la rédaction de vos centaines de patronymes. Je vous en supplie grand guide, éclaire nos chemins et soit la révélation tant attendu. ▲ âge et date de naissance : Noyons-nous dans l’oubli et la méconnaissance des abysses intemporelles. Essayons de garder le sourire en toute circonstance et d’envoyer nos pulsions à la mer. Tentez la numérologie et munis du premier de tous les chiffres vous saurez trouver les réponses tant convoitées. Faites en bon usage. ▲ ton conte : C’est le grand et l’unique. Notre chemin à tous. Le Lazare de Béthanie ou tout simplement Lazarus. Au moment venu, lorsque les cieux l’auront décidé, le jour de sa résurrection aura tombé. Il nous éblouira par sa nouvelle lumière et nous portera vers un stade spirituel que nul ne peux imaginer. Malgré tout et quoi qu’il arrive, l’Éternel sera pour nous, ces disciples, notre guide et notre ange des mille dessins. Le grand sauveur des égarés. ▲ statut civil : L’Immaculé de blanc, en harmonie avec sa propre personne, ne voit pas le besoin ni la nécessité d’officialiser ces relations. Nous sommes tous et chacun à ces côtés, partageons des moments tout aussi spéciaux et uniques avec lui qu’avec les autres. Comme le Roi dirait : se catégoriser ne serait que donner à la jalousie une raison de vivre, d’exister. ▲ orientation sexuelle : En d’autre mot, devenir malgré nous une prison? Une boîte pleine d’amertume, de souffrance et d’irréalisme? Non merci, nous y avons pensé longtemps et sommes loin d’être prêt à entreprendre un tel saut. L’Immense nous a simplement convaincu de ne pas tomber dans la facilité conventionnelle. Au lieu de ça, on souhaiterait s’élever comme lui et de la même façon que l’ange de cire, nous brûler. Tout entier s’il le faut. ▲ metier : L'Orion des mille chemins. Nous savons qu’il n’est que de passage, à l’écoute de toutes nos traces et tente par tous les moyens de nous ouvrir au monde qui nous entoure. De surpeuplé le grand âcre des merveilles et d’en faire un Eden Souvenir. Ces paroles soufflent notre avenir, son regard illumine nos destins et ces gestes sacrent tout ce qu’il reste. Damné ou non, vous en serez à jamais changé. ▲ situation familiale : Le mystère adopte la trahison qu’à subit le pauvre martyr. Accablé par la modestie, il nous a décrit sa première résurrection en toute pudeur et dignité. Malgré sa grande foi, les raisons de sa première tombe sont assombries par des brumes peuplées de rumeurs et de légendes. Certain ont entendu parler d’un mal encore plus noir que le Diable en personne. D’autre racontent les songes d’une nuit un peu trop alcoolisé et d’une Ève déchirée par le feu et la pendaison. On parle aussi d’une grande salvatrice, une Muse comme le dirait notre Petit Soldat, une certaine membre de l’imaginaire et des plaisirs charnels. Par contre, il y a bien une chose sur son passé que rien n’y personne ne peut ignorer ou nier. Même l’oublier serait un affront même pour l'ignorance. Si on le prend mots pour mots : Ma mère s’tune criss de folle. Une osti de salope, la pire d’entre tous. Même Lilith ne serait pas comment punir ce monstre ignoble et répugnant. Arrête d'être conne pis comprend tabarnak! Pis, s'tune caliss de slut pas capable de s’occuper d’elle-même ni de ces propres kid. J’vous jure que si j’la pogne un jour... C’est à cet instant où, d’un ton plus calme et disposé, le grand Alexandre s’excuse et demande pardon à toutes les fleurs ayant assisté à la scène. C’est l’un des seuls moments où nous l’avons vu enragé et même déchaîné. Tellement en colère que le pauvre en perd la raison. Que malgré toute sa bonté et sa lumière, une petite parcelle d’ombre putréfie son visage. Oui oui… ça, et le café. ▲ traits de caractère : Salomon se résume en trois parti, tous aussi mouvante les unes que les autres. Autrement dit, le moi, le ça et le surmoi. Ces natures acharnées servent à décrire son être et sa raison, sans quoi il ne serait que cendre lunaire et vent solaire. Nous n'en savons pas plus sur ces trois pyramides, mais nous sommes en mesure de croire qu'il subsiste de son cœur, de sa conscience et de ces pulsions... faisant de lui un être d'extraordinaire et de merveille. Presque éternel. ( in progress parce que word est un kaka) ▲ groupe : Fragile comme un enfant ▲ crédits : Croco, Swan,
Quel est ton pouvoir ? C’est un mystère, une énigme digne du plus sadique des sphinx. Même sa majesté ne sait que faire de cette malédiction. De ce fardeau. Tout commence lorsque les derniers rayons de soleil quittent l’horizon, une métamorphose, subtil, mais bien réel se fait sentir. Peau devenant aussi blanchâtre que le plâtre, canines s’acérant pour mieux goûter la chair, ongle se transformant peu à peu en scalpel et yeux… yeux illuminant à vif l’âme de tout mortel. Et se n’est que le début. L’Unique ne peut se contenter d’un simple changement physique, non non. Il faut plus. Il doit y avoir plus. Il y a plus. Le soir venu, lorsque tous s’agite à la Grande Chapelle et que toutes les cérémonies ont été consommées, le Petit Roi sort discrètement de la salle sacré. Ensuite, rentre dans sa chambre et ferme le tout à double clefs. Ça n’a été qu’une… envie irrésistible d’en savoir plus sur cet homme dont tu es complètement dingue …coïncidence si je me trouvais à cet endroit au bon moment. La porte avait été laissée entrouverte et j’ai… perdu la raison et verte de jalousie tu as voulue la pénétrer …pousser la poignée tranquillement pour entrevoir l’intérieur de la chambre. Une corde avait été suspendu, une corde munie d’un nœud coulant et d’une chaise pour la réconforter. D’où j’étais, je ne pouvais voir le reste et c’était évident que le… spectacle …pire était encore à venir. J’ai ouvert la porte. J’ai ouvert mes sens. J’ai ouvert mon âme. J’ai. Tout. Vu. Le lac de sang, les marques écarlates, le lit intact, le beau visage de l’homme, son regard vide, l’odeur poisseuse et son manque. Il ne respirait plus. J’ai… criée, hurlée, pleurée …fermée la porte et j’ai rejoint celui à qui j’avais tant d’amour à donner. Tant de peine à libérer. Et… tout est allé trop vite. Respiration, discussion, regard , échange, salive, inconscience, impuissance, manque. C’est cette nuit là où j’ai tout appris sur le Diable. C’est cette nuit là où j’ai été prise pour la première fois. C’est cette nuit là où il m’a dit : je t’aime. C’est cette nuit là où j’ai… apprise à me respecter …perdu mes ailes. <div> |
LE MIROIR :
Date d'inscription : 04/07/2016