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 C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)

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Ange Deloiseau


Messages : 185
Date d'inscription : 12/06/2016
MessageSujet: C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)   C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) EmptyLun 11 Juil - 18:13

parmis toutes les autres roses.
Rosie & Ange
– Adieu, dit-il à la fleur.
Mais elle ne lui répondit pas.
– Adieu, répétat-t-il.
La fleur toussa. Mais ce n’était pas à cause de son rhume.
– J’ai été sotte, lui dit-elle enfin. Je te demande pardon. Tâche d’être heureux.
Il fut surpris par l’absence de reproches. Il restait là tout déconcerté, le globe en l’air. Il ne comprenait pas cette douceur calme.
– Mais oui, je t’aime, lui dit la fleur. Tu n’en as rien su, par ma faute. Cela n’a aucune importance. Mais tu as été aussi sot que moi. Tâche d’être heureux… Laisse ce globe tranquille. Je n’en veux plus.
– Mais le vent…
– Je ne suis pas si enrhumée que ça… L’air frais de la nuit me fera du bien. Je suis une fleur.
– Mais les bêtes…
– Il faut bien que je supporte deux ou trois chenilles si je veux connaître les papillons. Il paraît que c’est tellement beau. Sinon qui me rendra visite ? Tu seras loin, toi. Quand aux grosses bêtes, je ne crains rien. J’ai mes griffes.
Et elle montrait naïvement ses quatre épines. Puis elle ajouta :
– Ne traîne pas comme ça, c’est agaçant. Tu as décidé de partir. Va-t’en.
Car elle ne voulait pas qu’il la vît pleurer. C’était une fleur tellement orgueilleuse…

Incertitude de gosse, peur irrationnelle d’une présence que tu appréciais il y a de cela un temps. La rose sauvage, piquantes, protégée dans son globe de verre, ses cheveux blonds et ses lèvres rouges. Rosie, captive du serpent elle aussi. Tu hésites, perdu dans ton subconscient imaginant toutes les possibilités possibles, la tête contre la porte, t’aurais presque l’impression de traîner un boulet à ta cheville et avoir des menottes, ne t’n'a rien de tout ça même pas une rancœur qui aurait pu être légitime. Rosie la plus jolie, Rosie la plus aimée, Rosie la plus sage, Rosie la plus douce. Rosie toujours elle. On lui répète, tous les jours, cent fois même, toi t’es là, t’as toujours été le gentil garçon, l’enfant qu’on aime briser encore et encore, dans une cage dorée qu’on souille de sang et de douleur. Pourtant, il n’y a rien, pas rancœur, ni colère, juste la peur d’être traité comme un moins que rien, comme si t’étais un misérable qui ne méritais pas de revenir dans cette maison, comme si tu n’étais pas digne de rester là parce que tu étais parti. C’est peut-être vrai au fond, c’est peut-être que t’es un sale gosse. Ange, la seule personne que tu détestes c’est toi-même, ce que tu es, ce que tu fais subir, ce que tu provoques. Blessures sur ton corps d’enfant, t’ont des galaxies sur la peau, bleu et Violet avec quelques étoiles en profondeur. Toi et Rosie c’était un peu comme la rencontre de deux âmes trop innocentes, de deux caractères différents, mais la peur est là, la douleur est là, Rosie qui s’énerve, Rosie qui se plaint, et toi qui finis par crier et par claquer la porte. Patience est mère de sûreté mais t’a jamais vraiment été en sécurité.  Rosie c’est la robe sous un globe de verre, elle est protégée des moucherons personne ne peut la toucher, alors que toi tes comme un petit garçon comme cent autres petits garçons. Être apprivoisé, tu aurais pu, tu l’as bien apprivoisé elle sans t’en rendre compte, puis parfois tu t’agaces, tu en as marre, tu pars et tu claques la porte, gamin capricieux dans un monde plein de vices. La princesse et ses beaux bijoux et le gosse les mains dans le sang et les yeux de l’incompréhension. Tu sais pas si Rosie sait quelque chose sur Nahash, si elle sait ce que t’as vécu, tu veux pas qu’elle le sache, de toute façon un secret est un secret, il ne faut pas le briser. Trois coups à la porte et tu rentres dans cette chambre où tu passais tes journées, l’angoisse au ventre et la peur dans le cœur. « Rosie ? » Tu ne veux pas ouvrir les yeux, tu ne sais pas ce que tu vas voir, tu ne sais pas si elle a changé ou pas, parfois les roses perdent leurs pétales..
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Rosie Nightingale


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LE MIROIR : C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) 447605tumblrstatictumblrstaticbt1ho8z4uc080sso48c8ss08s640
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MessageSujet: Re: C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)   C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) EmptyLun 11 Juil - 22:21

Il est parti un beau matin en claquant la porte. C’est de ta faute, petite rose capricieuse. Tu as fait fuir ton seul ami. Tu en demandais trop, Rosie, trop pour un si petit homme. Ange s’est envolé loin de toi, loin de sa cage dorée. Ça te chagrine, tu te sens seule, dans l’antre du serpent. Lui, était toujours là pour toi, il cédait à tes moindres caprices. C’était plaisant, tu dois bien l’avouer, de se faire servir. Mais ce n’est pas ça que tu aimais le plus chez le petit prince. Il était différent. Il te comprenait. Petit âme si similaire, et pourtant différente. Tu aurais aimé lui dire, à ce petit prince, qu’il était ton ami. Ton meilleur ami, ton unique ami. Mais c’est trop tard maintenant, il vole haut dans le ciel, ange parmi les nuages, et toi, tu restes sur terre, petite oiseau, on t’a coupé les ailes. Tu lui en veux, un peu. Tu es blessée, vexée, tu ne comprends pas. Et tu as peur, pour lui, être si pur, être si doux. Tu ne veux pas qu’il se fasse manger par le tigre, il n’a pas d’épines, pour se défendre, l’Ange.

Le soleil monte doucement dans le ciel, reprenant dignement sa place de roi, et la petite rose est encore endormie, au fond de son lit. La nuit a été longue, pénible, mais tu n’en aurais, petit oiseau, aucun souvenir, si ce n’est les chaînes qui te maintiennent dans ton lit. Encore profondément endormie, tu ne l’entends pas, le petit prince, entrer dans ta chambre, et quand enfin tu ressens sa présence, tu bas des paupières, tu ouvres tes pétales à ce jour nouveau et doucement, tu te redresses, sur ton matelas de plume. C’est les yeux de ton petit prince, que tu rencontres, et tu souris. Tu souris à la vie, pour lui dire merci. Merci de lui avoir ramené ton petit ange, vivant. Tu n’es pas en colère, pas encore. Tu es trop endormie, mais ça viendra, et la rose sortira ses petites épines. « Ange. Bonjour. Pourrais-tu attraper la clé, et détacher Rosie ? » Tu demandes docilement. C’est Nahash qui vient, d’habitude. La clé est en évidence, accrochée sur le mur, près de la porte, trop loin pour que tu puisses l’atteindre, lors de tes furies nocturnes. Elle te nargue, cette vielle clé. Elle est le symbole même de ta chute céleste. Des premières taches sur la rose blanche, de l’enfance volée, de l’enfance brisée.

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Ange Deloiseau


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MessageSujet: Re: C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)   C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) EmptyMar 12 Juil - 17:49

parmis toutes les autres roses.
Rosie & Ange
– Adieu, dit-il à la fleur.
Mais elle ne lui répondit pas.
– Adieu, répétat-t-il.
La fleur toussa. Mais ce n’était pas à cause de son rhume.
– J’ai été sotte, lui dit-elle enfin. Je te demande pardon. Tâche d’être heureux.
Il fut surpris par l’absence de reproches. Il restait là tout déconcerté, le globe en l’air. Il ne comprenait pas cette douceur calme.
– Mais oui, je t’aime, lui dit la fleur. Tu n’en as rien su, par ma faute. Cela n’a aucune importance. Mais tu as été aussi sot que moi. Tâche d’être heureux… Laisse ce globe tranquille. Je n’en veux plus.
– Mais le vent…
– Je ne suis pas si enrhumée que ça… L’air frais de la nuit me fera du bien. Je suis une fleur.
– Mais les bêtes…
– Il faut bien que je supporte deux ou trois chenilles si je veux connaître les papillons. Il paraît que c’est tellement beau. Sinon qui me rendra visite ? Tu seras loin, toi. Quand aux grosses bêtes, je ne crains rien. J’ai mes griffes.
Et elle montrait naïvement ses quatre épines. Puis elle ajouta :
– Ne traîne pas comme ça, c’est agaçant. Tu as décidé de partir. Va-t’en.
Car elle ne voulait pas qu’il la vît pleurer. C’était une fleur tellement orgueilleuse…

Les habitudes que tu avais dans cette maison ont disparu, le besoin d’être dans cette chambre, protégé de tout aussi. Rosie, attachée, une chaîne la retenant à ce lit. Tu te demandes, tu veux savoir, mais ça te fait peur de comprendre, tu ne sais pas pourquoi elle est dans cet état, de toute façon n'ont ne e dit jamais rien et tu ne comprendrais surement pas. Il y a la voix fatiguée de la rose qui s’élève et tu t’exécutes, tu t’attendais à des cris, des hurlements, peut-être même une gifle, mais tu sais que ça va venir, Rosie ne reste jamais calme longtemps, tu l’as un peu trahi, t’es parti sans rien dire, t’es claqué la porte et t’as décidé que c’était assez pour toi, servant de toujours, ami d’un jour. La gratitude pendue aux lèvres de la rose, t’aurait aimé avoir un merci, un « t'es pas obligé » mais tu te soumets-tu te soumettras toujours, c’est peut-être être faible voire même être un gosse parce que t’as peu des représailles. Tu la détaches, le petit rose, comme si tu l’avais toujours fait. Tes mouvements sont confus, maladroits. T’as la tête un peu dans les étoiles, tu te recules après l’avoir détachée, elle pourrait te sauter au cou pour t’étrangler que tu serais à peine surpris même si Rosie est la douceur incarnée. Toi t’es là, tu sors de nulle part, tu l’as abandonné, t’as même abandonné ton cœur, t’as l’impression de ne plus rien ressentir, l’être heureux que t’étais tu l’as à peu près oublié. T’es qu’un gamin, la tête qui tombe sur le seul et le corps en morceaux, la rose perd ses pétales, elle tâche de sang le sol et toi tu fais couler ton propre sang. T’es en morceaux et tu le sais. « T'es pas énervée ? » T’as les sourcils qui se froncent et la voix qui tremble..
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Rosie Nightingale


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LE MIROIR : C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) 447605tumblrstatictumblrstaticbt1ho8z4uc080sso48c8ss08s640
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MessageSujet: Re: C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)   C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) EmptyMer 13 Juil - 21:26

La première chose que tu as aimé, chez Ange, c’est qu’il faisait ce que tu lui demandais, toujours. Mais tout le monde le fait, ici. Alors ça peut vite devenir ennuyant. Chez le petit prince, il y avait quelque chose de différent, et d’attirant. Il ne faisait pas tes quatre volontés parce qu’il te désirait, ou parce qu’il en avait reçu l’ordre. Non, il le faisait parce que c’est un être profondément gentil. C’est du moins ce que tu pensais. Tu sais que tu es égoïste, tu ne le caches pas. Tu vis dans un monde fleuris, jolie petit oiseau, et tu en es la reine. Mais tu ne pensais pas que l’ange pouvait l’être aussi. Ça te déçoit, et dans tes mirettes dorées, Ange peut lire toute ta déception. L’oiseau est tombé de son nuage. Tu souris pourtant, parce que c’est toujours le cas. Rosie, tu souris à la vie. « Pourquoi Rosie devrait être énervée, Ange ? Parce que tu es parti sans rien lui dire ? Parce que tu l’as abandonné en claquant la porte, parce qu’elle s’est retrouvée toute seule, sans son ami, son seul ami ? Parce qu’elle a cru mourir à chaque minute en se demandant où tu pouvais bien être, en priant les fleurs pour qu’il ne t’arrive rien ? Non, vraiment, Rosie ne voit pas pourquoi elle devrait être en colère. » Tu le regardes toujours, et tu souris un peu plus. Tes yeux ne sont qu’éclair, et si tu le pouvais, tu aurais terrassé le petit prince, en un regard. Tu frottes ton poignet, si délicat, si tendre, et pourtant rougis par le fer. « Rosie n’est pas en colère. Rosie est déçue. » Le petit oiseau s’envole vers la fenêtre, ouvre les volets, et inspire l’air pur. Mais le petit oiseau ne peut plus s’envoler. Alors de nouveau, il fait face au petit prince. « Alors te revoilà ici. Tu en as eu marre, du monde ? »
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Ange Deloiseau


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MessageSujet: Re: C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE)   C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante. (ROSIE) EmptyDim 17 Juil - 23:29

parmis toutes les autres roses.
Rosie & Ange
– Adieu, dit-il à la fleur.
Mais elle ne lui répondit pas.
– Adieu, répétat-t-il.
La fleur toussa. Mais ce n’était pas à cause de son rhume.
– J’ai été sotte, lui dit-elle enfin. Je te demande pardon. Tâche d’être heureux.
Il fut surpris par l’absence de reproches. Il restait là tout déconcerté, le globe en l’air. Il ne comprenait pas cette douceur calme.
– Mais oui, je t’aime, lui dit la fleur. Tu n’en as rien su, par ma faute. Cela n’a aucune importance. Mais tu as été aussi sot que moi. Tâche d’être heureux… Laisse ce globe tranquille. Je n’en veux plus.
– Mais le vent…
– Je ne suis pas si enrhumée que ça… L’air frais de la nuit me fera du bien. Je suis une fleur.
– Mais les bêtes…
– Il faut bien que je supporte deux ou trois chenilles si je veux connaître les papillons. Il paraît que c’est tellement beau. Sinon qui me rendra visite ? Tu seras loin, toi. Quand aux grosses bêtes, je ne crains rien. J’ai mes griffes.
Et elle montrait naïvement ses quatre épines. Puis elle ajouta :
– Ne traîne pas comme ça, c’est agaçant. Tu as décidé de partir. Va-t’en.
Car elle ne voulait pas qu’il la vît pleurer. C’était une fleur tellement orgueilleuse…

Deloiseau, Nightingale. Deux noms de famille inventés de toutes pièces, comme une identité qui n’aurait pas dû exister. Comme une berceuse qui sonne faux. Deux oiseaux qui sont enfermés et qui se brisent les ailes pour sortir, pour respirer l’air du large, pour se sentir vivant. Un seul sur deux a réussi, un seul à briser ses barrières. L’envie, l’agacement, le fait de se sentir comme une poupée que l’on vend, que l’on admire. Et dans la rue, ce n’est pas la même chose, c’est un œil sur deux que tu dois cacher parce qu’il n’est pas de la même couleur, c’est l’œuvre du démon qui semble incrusté dans ta peau. Les cicatrices, les bleus, les autres cages, ce corps qui n’est plus le tien, qui n’a jamais été le tiennent. Et il y a eu cette rencontre, encore une fois, il y a eu ton corps contre les murs crasseux, la douleur dans tes yeux, une larme sur ta joue. Il y a les yeux dorés de Rosie, ceux que tu connais, que tu as observée assez pour te souvenir exactement de la teinte qu’ils ont. Les mots de la rose sont comme des centaines d'épines ancrées dans ton corps, plus que les bleus, plus que les cicatrices, plus que la blessure sur ta mâchoire venant de Nahash, une pression trop fort, un bleu qui se forme, peau d’enfant qui se fait malmenée. La douleur, le dégout ne soi-même. Gosse défoncé qui ne voit que le mal dans ce qu’il fait, c’est peut-être ça la vraie douleur ? La vraie honte ? Être traité de ce que l’on n’est pas. La déchirure du cœur est profonde, l’esprit souffre. « Tu n’étais pas toute seule, Nahash est là. » Ça te fait comme un frisson douloureux contre l’échine, comme si ça sonnait faux alors que c’est totalement vrai. « Je croyais que je ne comptais pas pour toi. » Folie d’enfance, tu ne comptes pour personne de toute façon. La peur, la trahison, dans la voix de la rose, et le petit prince se recule, comme s’il était poignardé. Le dos contre la porte tu observes, l’autre près de la fenêtre, tu veux sortir, tu veux partir, sauter encore une fois, partir encore, te blottir dans les bras chauds d’un souvenir. « J’aime le monde. Il m’apprend beaucoup. Il paraît que je ne suis plus immaculé, je pense que je ne l’ai jamais été. Et toi ? Ta prison de verre ne t’ennuie pas ? » Amertume dans ta voix, l’habitude que tu as prise ces temps-ci, il y a ensuite la main sur ta bouche, enfant outré par ses propres propos, outré par le ton de sa voix. « Je… Je suis désolé. » Tu enfoncerais tes ongles dans ta peau si tu en avais, tu aimerais voir une nouvelle fois ton sang tâché le sol, t’enfuir. « C’est Nahash qui m’a ramené. » Souvenir sur ta peau où tu frôles instinctivement du doigt, il y a tant d’autres marques qui lui appartiennent, tant d’autres. « Je voulais pas être méchant. Excuse-moi. » Tu ne sais pas si tu es sincère, le mensonge protégé, on te l’a toujours dit.
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