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 EAT ME LIKE A CANNIBAL

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Hosanna Beaumont


Messages : 189
LE MIROIR : EAT ME LIKE A CANNIBAL 7cWnHMd
Date d'inscription : 30/05/2016
MessageSujet: EAT ME LIKE A CANNIBAL   EAT ME LIKE A CANNIBAL EmptyLun 30 Mai - 11:09



Hosanna Beaumont

Il est plus facile de raisonner sur l'amour que de le vaincre.



nom : Tinte sur la langue la consonnance de riches marchands déchus, Beaumont sonne deux fois sur le palais, carillonne deux fois sur les dents nacrées. La Belle est fière d'un patronyme aimé. ▲  prénom : Distille les pensées tristes d'une délivrance espérée, le prénom est offert dans l'amour d'un père sincère, ivre de sa dernière enfant, elle porte les trois sons en son battant palpitant d'une dévotion pour le paternel.  ▲  âge et date de naissance : La jouvence bat de ses ailes affamées d'une jeunesse éternelle, l'enfant âgée de vingt-cinq fleurs fanées pleure sur les terres desséchées des landes barbares d'un Barbe-Bleue affectionnée. Un trois juillet l'ange respira le premier coup d'un malheur. ▲  ton conte : Ô Belle des damnées, créature angélique d'agates ouvragées, l'invitation d'un voyage dans la volupté d'un corps ensorcelant, Belle condamnée déjà par son humilité.  ▲ statut civil : Aucune bague ne vient frôler ses doigts de fée, la biche refuse, rejette, d'une parole chuchotée à l'oreille la voilà fuyant l'engagement ; les hommes sont des chacals désirant l'impudeur. ▲  orientation sexuelle : Au fond d'elle pourtant, elle s'enlace dans les rêves apprivoisés d'une romance saccagée, de ses rares livres qu'elle serre fermement dans ses paumes de neige, elle se prend à imaginer une relation sincère. ▲  metier : Guérisseuse, dans sa cabane de bois, elle pourfend les herbes, quand les malades sanglotent elle passe ses larmes sur les blessures maudites, elle utilise son don pour les cacophonies. ▲ situation familiale : De deux soeurs appréciées et trois frères jugés, elle sélectionne l'amour dans son coeur, son favori est le père sacré qu'elle prie et qu'elle surveille, qu'elle soigne et qu'elle embrasse. ▲ traits de caractère : Stoïque - Sincère - Dévouée - Responsable - Angoissée - Respectueuse - Indépendante - Solitaire - Introvertie - Délicate - Une once d'autorité - Têtue - Un peu docile... ▲  groupe : Tendre comme le souvenir. ▲  crédits : EYLIKA.

comment se manifeste le pouvoir de la lune sur ton personnage ? Lorsque la lune se lève, lorsque la lumière se souffle à l'obscurité d'effroi, la Belle s'enferme, son esprit, son âme pleurent des incapacités sociales, l'argentine réveille les peurs engouffrées tel un amas de parasite grouillant, massacrant la lucidité de la jolie. Alors l'insomnie coud des malheurs, et le matin l'enfant dort ses joues cerclées de perles humides.

Courageuse enfant, l’on pourrait certainement confondre avec la témérité embrasant quelques veines bleutées, elle est des beautés astrales aux dévotions et au respect sacré, Hosanna sacrifierait sa vie pour les justices peuplées. – Esprit vif, agates démunies, elle se tait aux paroles indécises, aux mots idioties que les hommes adressent aux femelles, de son sourire sage elle semble de ces soumises immaculées, elle est la guerrière silencieuse, méprisant les débilités. – La lecture trouve refuge entre ses paumes de marbre, quelques livres trouvés mais surtout écrit, elle prend la plume pour verser d’une encre ses imaginations angéliques, poèmes, fables, contes et histoires longues s’enchevêtrent dans les bâtisses des pages noircis à la douleur d’un poignet. – La nature aimée, la solitude apprivoisée, la jolie trempe ses pieds dans les promenades pensives, ivre de lieux recherché souvent elle se laisse à baigner son visage aux pluies terribles, rentrant trempée, fragile, son visage chétif. – Des heures assise, immobile, elle se pétrifie dans les réflexions, un Eden, l’enfant ne pose jamais de questions, elle attend, patiente, elle n’éprouve de curiosité pour les proches et compagnons dessinant quelques grammes de vie sur ses poignets. Discrète amoureuse, elle s’envole dans les mystères d’une âme humble. – Compréhensive marquise, l’oreille attentive, elle trouve les paroles d’or pour les peines à disparaitre. – Appétit d’oiseau distrait, elle ne grignote du bout de ses doigts de marbre, jamais elle ne mangera la quantité nécessaire, comme une automutilation, c’est simplement cette envie manquante d’un diner délicieux, elle trouve sa nourriture dans la spiritualité. – Innocente, les hommes sont pour elle un écho de terreur, elle refuse de se marier, effrayée d’un lit, d’un autel où la virginité sera saccagée aux paluches d’affreux centaures grisés, elle a ces fantasmes terribles où la violence reine détruit la féminité. – Elle se terre dans la froideur spectrale d’un énervement invisible, la colère nage dans les flots d’un pardon puissant, éponge des sentiments d’autrui elle ne fréquente que peu les âmes foisonnantes. – Admirative des contrées, c’est le désir de voyager qui l’obsède chaque jour, bloquée pourtant dans ses requiem de principes.












Ton pouvoir quel est-il, raconte nous en quelques lignes en quoi ton personnage est lié à la magie. De ses yeux compassion, la séraphine tend sa main de nacre aux naufragés sublimes, au village la maladie n'existe pas, seulement les malédictions, les punitions, les châtiments de mauvaises âmes, alors Hosanna soigne, enlève les imprécations, pas pour les puissantes, pas pour les dangereuse, elle réduit simplement, offre un moment de paix pour quelques journées. Ses larmes permettent la sérénité tandis que ses doigts viennent frôler l'épiderme brumeux de certains patients venus la voir exprès. Elle ne dit pas non l'angélique créature qui baume les peines et les tristesses dans des paroles chaleureuses de réconfort. Guérisseuse, soigneuse, elle utilise son don pour les bénédictions.














Ici c'est la partie hors rp, on aimerait plus en savoir sur toi, ce que tu aimes, d'où tu viens... Comment tu as connu le forum et ta fréquence de connection aussi. NEON DEMON, grande joueuse de rpg, de tous les univers possibles, j'aime écrire, même si quelques fois l'inspiration me manque et là c'est la catastrophe je dois avouer... Je suis un loup solitaire et je ne jure que par les liens sombres et glauques, complexes à souhait, sinon ça me lasse totalement rapidement EAT ME LIKE A CANNIBAL 3791251769 En ce moment j'ai fini mon année et du coup je reste scotchée sur le forum 24/24 EAT ME LIKE A CANNIBAL 2999240783









Dernière édition par Hosanna Beaumont le Mar 7 Juin - 18:37, édité 10 fois
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Hosanna Beaumont


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LE MIROIR : EAT ME LIKE A CANNIBAL 7cWnHMd
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MessageSujet: Re: EAT ME LIKE A CANNIBAL   EAT ME LIKE A CANNIBAL EmptyLun 30 Mai - 11:11



Un titre d'histoire

Et une citation cool, qui reflète ton personnage.



Dans le jardin parfumé d’un étrange effluve divin, la biche de ses orbes mordorés cueille de ses mains douces des pétales affligés d’un hiver précoce, l’aurore se réveille embrumée par les litanies de sa sœur l’argentine capricieuse, elle a encore entendu les loups hurler aux délices, à la chasse sanglantes des chaperons innocents, inféconds ; Hosanna, l’enfant stoïque rempli dans son panier d’osier quelques fleurs fraiches pour le salon empesé de pauvreté. Ses sœurs semblent de ces créatures imparfaites se plaignant de la défaite de leur père, de la faillite barbare dû aux ennemis du village, les frères, eux,  naviguent dans les eaux troubles des jeux d’argent que la dernière observe mécontente, l’unique à éprouver une joie paradoxale concernant ce funeste sort. Dans une ferme ils se sont installés, loin de la rue chantante du quartier de l’est, les landes remplacées par l’éternel cruauté de la méchante reine, en allant chez l’apothicaire la Belle entend les rumeurs les concernant, ici l’on n’aime pas les étrangers, on les jauge d’agates narquoises, certains pourtant, des enfants surtout, osent poser des questions, petits encore insouciant d’un monde néfaste, barbare. Elle ne se souvient pas de ces heures de bonheur jouant auprès des cascades flamboyantes, lieux magiques où la petite découvrit son pouvoir et la nuit quand la lune se levait, précipice des infortunes mélancoliques quand elle entendait crier dans la chambre d’à côté.

Les gonds grinçant annonce le retour du paternel, l’aimé, le protecteur, d’un voyage pour récupérer les biens, pour retrouver richesse et sécurité il était parti joignant les eaux, à Neverland où l’aventure devient un fardeau, des jours, des mois même que le patriarche s’absenta, Hosanna attend, patiente, n’osant rejoindre l’adoré, le modèle, l’image d’un idéal, d’une tendresse toujours vibrante dans son cœur sage d’une princesse stoïque, les murmures puis l’agitation, elle s’inquiète à présent, ceci n’est pas normal. Dans sa robe de lin crème, simple soierie épousant les formes prêtresses de la majesté astrale, elle voit les figures familiale entourant, gravitant autour de son soleil pâle ; il a les cheveux des neiges du nord, et le visage fatigué par le voyage, elle sent les regards enivrés de haine, les yeux enflammés par la rancœur, est-ce elle ? La rose git sur la table de chêne usée, offrande à son humilité tandis que les ainés demandaient pierreries et diamants pour l’égo démesuré. D’un doigt elle caresse la texture ivoirienne d’une magnifique variété, silencieuse enfant attendant le couperet. « Pour avoir pris cette fleur, je dois périr. » ouï-t-elle, la larme s’échappe de ses paupières, la culpabilité surgit d’un néant de détresse, montagne assassinée d’une ironie rieuse, moqueuse. Elle refuse, se détourne d’un père exténué, l’histoire inconnu mais un nom, une description, une bête, un monstre. « J’irai. » La réponse se tait sur les lippes fragiles d’un centenaire bafouillant son amour pour sa jolie favorite, les mains ridées s’accrochent se désirant autoritaire, il se cogne face aux ambres dévouées de la demoiselle. D’un manteau râpé, déchiré, maltraité, elle effleure les poils de son compagnon chevalin, un secret, un chuchotement, le voilà galopant.

Le soupire s’étouffe dans la gorge de lait de la fille perdue, le château s’esquisse, ruines magistrales d’une tanière mystérieuse, Hosanna n’éprouve pas de curiosité, respectueuse femme des envies gardées au battant des autres, elle affronte l’agonie aride, sur les murs mouchetés de saletés, elle atteint une pièce inondée où la fontaine retire ses flots difficilement, les étoiles paraissent des bijoux de fééries, le sourire nait sur ses lèvres livides, elle ne tremble, ni ne frisonne courageuse, téméraire enfant. Le souffle discret dans sa nuque se loge, malédiction impériale d’un passé ardent, elle ne questionne pas, elle ne bouge pas, ses paumes rugueuses d’un travail conquérant se figent dans l’or d’un sacrifice. « Je suis venue pour vous offrir ma vie. » dit-elle, sa voix cristalline d’une douceur céleste, elle ne baisse pas son visage éclairée d’une légère lueur bleutée « mon père a commis une erreur, ce fut à ma demande car je souhaitais obtenir une rose pour son retour. Faite de moi ce que vous voulez. ». L’obscurité s’allume, quand le maître décide de son sort, la mort illusoire ne recueillera l’âme chantante de l’épouse abyssale.

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