| Sujet: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Lun 20 Juin - 17:28 | |
| ADELE JÄGER Grignoti, grignotons, qui grignote ma maison ? C'est le vent, le vent, le céleste enfant !
| nom : Un nom qui a traversé les âges, ils sont l'âme de ce village impitoyable, Jäger. ▲ prénom : Adèle. Elle aime son prénom parce qu'il sonne fragile et docile. Tout ce qu'elle a décidé de ne pas être. ▲ âge et date de naissance : Vingt-sept ans depuis quelques mois, il semblerait que la beauté glaciale prenne de l'âge, un âge qu'elle aime et qu'elle assume. ▲ statut civil : Amoureuse de l'interdit.▲ orientation sexuelle : Elle n'a jamais été attirée par les courbes généreuses des femmes, seulement la virilité des hommes. ▲ métier : Aucun. Tout comme son double, elle vit et dépend des gens. Elle amadoue par son faciès enjôleur, elle aspire les richesses d'autrui, et détruit ce qui reste. ▲ Quel est ton conte ? : Hansel et Gretel des frères Grimm. ▲ situation familiale : Enfant perdue, elle n'a que lui, son frère. Abel c'est sa moitié, pour toujours et à jamais.▲ traits de caractère : sociopathe - élégante - joueuse - froide - susceptible - jalouse - possessive - caractérielle - peste - taquine - enfantine - impulsive - intrépide - princesse - envieuse - etc ... ▲ groupe : Au choix. ▲ crédits : tumblr pour les gifs. |
L'histoire est relativement libre, les quelques points ci-dessous ne sont là que pour vous aiguiller, vous donnez des idées. Évidemment, vous pouvez étoffer pour en faire un personnage plus riche, et vous l'appropriez. Ma fiche est ici. ▲ Le sang, ils le partagent, tout comme la folie. Hansel, pauvre Hansel. Combien de personnes il y a dans ta tête ? Et toi Gretel, quel est ton problème ? Elle n'a pas à rougir la petite fille. Esprit instable, elle est psychotique. - extrait de ma fiche:
Chapitre II ; And in her smile I see something more beautiful than the stars. Ce qu'elle était belle, là, allongée dans la neige. Tes yeux pâles la contemplaient, désireux peut-être d'y dénicher son âme. Tu aurais pu la regarder ainsi toute la nuit durant. Malgré le froid, malgré la neige, tu aurais pu rester là, si c'était avec elle. Elle te fascinait. Douce moitié. Âme jumelle. « Alors ? Comment suis-je ? » Sa voix brisa ce silence si caractéristique du village, et tu fronças les sourcils, regardant ce visage tant similaire au tien. « Les morts ne parlent pas sœurette. » Jeu enfantin, jeu morbide ; qui prit fin malheureusement lorsque vos rires chantèrent à l'unisson. Alors t'allongeant à côté d'elle, ayant cette épaisse couche de neige comme simple lit, tu regardas les étoiles, unissant ta main avec la sienne. « Dis-moi mon frère, est-ce que tu m'aimes ? » Esquissant un sourire ironique, tu constatas comme chaque jour que sa mesquinerie n'avait aucune limite. Cette question, elle te la posait souvent. Trop souvent. Comme pour se rassurer. Sauf qu'elle ne cherchait nullement à être apaisée, elle voulait juste s'assurer que rien n'avait changé depuis la veille, depuis l'avant-veille, et de l'avant-avant veille encore. Au bout de dix ans n'avait-elle toujours pas compris pour que tu sois obligé chaque jour de lui montrer amour et dévotion ? Bien sûr qu'elle l'avait compris, tu l'aurais eut sur le dos sinon. Non. La capricieuse enfant aimait juste constater que tu étais toujours son fervent chevalier. Quoi qu'il arrive, quoi qu'il en coûte. Et elle avait raison. Tu l'aimais plus que tu n'aimais tes propres parents. Tu lui vouais un culte comme elle pouvait t'aduler. Et tu savais malgré ton âge, qu'un jour, tu embraserais le ciel et la terre de ta glace pour elle. L'amour n'était pas terrifiant, il était destructeur. « Réponds. » Ordonna-t-elle avec toute l’autorité d'une reine qu'elle n'était pas encore malheureusement. Et tu te redressas alors, t'allongeant de tout ton poids sur elle. Le bleu pur de vos yeux s'accrocha, l'un à l'autre, et au lieu d'user de tes lèvres pour prononcer un « oui » franc, elles emprisonnèrent les siennes dans un baiser innocent. « Un jour s'il le faut, je gèlerai les mers, la terre, les gens, et même le temps pour toi. » Promesse d'un enfant. Aussi innocentes que véridiques.
| Abel Jäger - Verre de vin rouge à la main ; en cette nuit la belle n'a qu'un seul objectif : se soûler. Vite et bien. Elle veut boire pour oublier, elle veut se perdre dans la liqueur carmine pour se soulager. Paradoxale, elle sait bien qu'elle va finir malade, tête la première dans les toilettes à vomir ses tripes. Pourtant, c'est plus fort qu'elle. 'Il' a encore fait des siennes. L'homme aux mille visages, l'imprévisible qui lui brûle le bas-ventre, et empoisonne ses lèvres. Ils se sont disputés hier. Encore. Il a crié, elle a hurlé. Il est parti, et elle s'est retenu de pleurer. Fierté mal placée, elle se montre forte, alors qu'au fond, il la touche vraiment. Il saccage tout, détruisant conviction, pulvérisant toute sérénité. Il la désire, et pourtant, il la rejette. Folie destructrice. Ce mec est instable, inconstant. INCOMPRÉHENSIBLE. Elle le sait la petite Adèle comme elle sait qu'il ne changera sans doute jamais. Alors pourquoi est-elle en train d'ouvrir cette porte, sachant pertinemment qui se trouve derrière ? Elle aurait dû l'ignorer sans doute ; faire comme si de rien n'était. Seulement, le voir n'est pas qu'un soulagement. C'est un plaisir, un véritable délice pour le cœur et les sens. Et elle se perd vite, trop vite dans ce regard qui l’obsède. Elle ne sait quoi dire, ni quoi faire. Alors il entre sans rien demander. Bourrin, voilà ce qu'il est. Mais elle a l'habitude la jolie princesse, du moins avec lui. Elle ferme la porte, et là, tout s’enchaîne et se déchaîne. Encore, toujours, tout le temps ; quand Abel est proche. Lui c'est la tempête, l'ouragan violent. Elle c'est la feuille d'automne, la petite chose légère. On se doute bien de qui gagne à chaque fois. Le 'clic' de la porte comme signal, le 'réveil' est brutal. Adèle se retrouve plaqué contre la porte. Oh, elle ne se sent pas bousculée loin delà ; la jeune fille, elle se sent chavirer. Game Over, la partie n'a même pas commencé. Elle ne peut pas résister face à la passion dévorante du sieur qui fait tambouriner sa cage thoracique. Elle se plie devant l'incandescence, qu'elle récompense avec autant d'élan. Elle aime son impulsivité, elle la cajole de caresses, la séduit par des baisers. Et d'un « Je suis désolé ... » elle lui emprisonne ses lèvres, suivant la danse endiablée. Elle brûle la petite … Et elle est vite refroidie. Encore. La tempête se calme, disparaît. Abel recule alors que le corps de la Jäger hurle. C'est lui qui la rend dingue. Adele est-ce que tu vas bien ? Évidemment que non, abruti ! Sauf qu'elle se tait. La frustration lui coupe le sifflet. Elle se recoiffe d'un geste de la main, se racle un peu la gorge, et le suit pour reprendre ce verre qu'elle aurait dû boire seule. « On ne peut mieux. » Elle se contente de ça, et elle boit cul sec. Ou pas. « Tu te fiches de moi là ? Tu m'as promis. Tu m'as promis de tous les tuer. » C'est sans doute l'alcool, c'est à cause de cet interdit, de cet amour maudit. |
Dernière édition par Abel Jäger le Mar 21 Juin - 16:43, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Lun 20 Juin - 22:58 | |
| Salut beauté ! J'ai choisis Selena en avatar, mais en y réfléchissant, je me pencherais plus vers Anastatia Shcheglova parce qu'elle semble douce ! Qu'est-ce que tu en penses? - Spoiler:
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Mar 21 Juin - 0:07 | |
| Bonjour toi ! Je ne l'ai même pas encore fini qu'il est déjà prit ? J'ai vraiment de la chance en ce moment, je vais jouer au loto J'avoue que Selena me fait peur Mais ce que tu proposes, c'est une petite merveille Elle est à la fois très attirante et a ce côté femme enfant que j'imaginais pour Gretel. J'aime ! |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Mar 21 Juin - 13:49 | |
| Oui, pardonne-moi, mais avec ce contexte parfait et ta plume, j'étais obligée de craquer ! Si, tu as des choses à rajouter, je serais plus patiente ! Je suis contente qu'elle te plaise parce que Selena ne colle vraiment pas au personnage finalement |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Lun 11 Juil - 15:37 | |
| Coucou mon tellementsexyquejenperdmaculottede frangin J'ai eu un vrai coup de coeur pour le forum, mais ta magnifique plume a finalement eu raison de la mienne et chaviré mon petit coeur de rôliste Me voici donc rien que pour tes beaux yeux Concernant le choix de l'avatar, j'ai choisi miss Astrid car je cherchais une actrice pouvant s'accorder au rôle tout en ressemblant un minimum à Max Irons. Mais bien évidemment, si ce choix ne te conviens pas, je retourner farfouiller pour trouver une autre tête ^0^ Je n'attend que ton aval pour commencer ma fichette alors à très vite j'espère <3 |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Jeu 14 Juil - 16:46 | |
| OH MON DIEU ! Je ne l'attendais plus ! Je dois avouer que je n'étais plus trop là sur le forum ces derniers temps - voir pas du tout - pour diverses raisons qui sont arrangées finalement (et je m'en excuse pour ceux qui lisent le message), mais voir ma Gretel ici, ça me rend En plus avec Astrid, je n'ai pas du tout pensé à elle, et pourtant elle est parfaite pour le rôle ! Bravo, je n'y avais pas du tout songé. Bref, JE T'AIME, je ne suis que joie ! |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. Jeu 14 Juil - 18:39 | |
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| Sujet: Re: ANASTASIA SHCHEGLOVA - ma paranoïa sur tes lèvres. | |
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LE MIROIR :
Date d'inscription : 05/06/2016